Festival Sucré-Salé
Verrière, salle à gradins et réfectoire de l’Institut Notre-Dame de Jupille
Samedi 21 novembre 2009
Made in’DJ
Set musical proposé par des élèves et des professeurs de l’Institut Notre-Dame de Jupille.
Jean Brico, Eric Dellicour, Ferdi et Renaud Grigoletto
Eugénie Iglésias
Benjamin Demste, François Duchesne et Quentin
Hélène Bomboir
Nora El Hamri
Yellow Paperbag
Tout a commencé en 1998, lorsque Mathieu et Thibault joignent le groupe de Stéphane, Painface, qui comptait dans ses rangs un certain David Henrard aux platines. Surfant sur la vague du néo-métal, très en vogue à l’époque, le sextuor compose quelques morceaux dans une chambre exiguë et fait ses premiers pas sur scène. La formation finira par avorter dans le courant de l’an 2000. L’aventure terminée et l’appétit musical revenant au galop, les trois compères se retrouvent deux ans plus tard et s’adjoignent les services de Jean-François, au clavier, et de François, au chant. Quelques arrangements plus tard, Jeff retourne à ses premières amours (le jazz) et les quatre se demandent où ils vont bien pouvoir répéter… Nous sommes en 2004 et yellow paperbag naît ainsi de façon un peu improbable dans les brumes nandrinoises, entre Liège et Huy, à l’abri d’un garage, sur les cendres de cette formation infructueuse. Laissant libre cours à son imagination, le groupe trouve peu à peu ses marques dans un style rock alternatif qui combine subtilement les multiples influences de ses membres, tous issus de l’Atelier Rock de Huy. Dès lors, le groupe se veut résolument rock, flirtant parfois avec une pop à la sauce belge ou british. Chemin faisant, yellow paperbag enregistre sa première maquette en août 2006, avec David « Pouss » Henrard aux manettes, au beau milieu du salon de Stéphane. Cette dernière se veut le reflet des humeurs du groupe : on passe de mélopées suaves et mélancoliques à des riffs de guitares acérés et vindicatifs, le tout illustré par des textes dépeignant des situations tragiques ou caricaturales. Le goût du quatuor pour les mélodies puissantes et accrocheuses apparaît déjà. Malgré des conditions d’enregistrement pour le moins artisanales, cette démo éponyme est plutôt bien reçue et permet au groupe de trouver des opportunités de jouer en public début 2007 et partager ainsi sa passion.
Le départ de Mathieu en Angleterre (dans le cadre du programme Erasmus) aurait pu marquer un coup d’arrêt pour le groupe. Qu’à cela ne tienne, Nicolas « Minipouss » Henrard assure brillamment l’intérim entre janvier et mai 2007, apportant au passage son style et nombre de bonnes idées. Fin 2007, un verdict positif de « Ça balance […] », projet-concours du Service Culture de la Province de Liège, se concrétise par le soutien d’un directeur technique en la personne de Léo Geraci (guitariste de Sttellla) en vue de l’enregistrement dans la foulée du titre « city » au studio de la Province de Liège. Le résultat se trouve sur la cinquième compilation annuelle de « Ça balance […] », distribuée à plusieurs milliers d’exemplaires. Motivé par cette première marque de reconnaissance, ypb se lance dans la réalisation d’une deuxième démo 4 titres intitulée « city », laquelle se veut plus aboutie et cohérente que la première. Disponible en novembre 2008, cette maquette révèle le chemin parcouru par le groupe et précise surtout un peu plus l’orientation musicale choisie par yellow paperbag : un rock direct et abrasif qui allie énergie punk et mélodies pop. Après avoir joué sur la scène « Carrefour des Talents » des Francofolies de Spa et participé aux éliminatoires du Concours Circuit pop rock, le groupe est plus déterminé que jamais à mettre le feu aux planches…
Coyote
Coyote est un duo de guitaristes, Sam Pierot et Christophe Paul, vagabondant avec légèreté, agilité et humour sur les racines du folk traditionnel et du ragtime. En toute simplicité et cependant avec une technique subtile, ils viennent de réaliser leur premier album: entrelacs de guitares complices, instrumentaux enlevés, piqués d’humour et sans malice.
Discographie : “Coyote” mini-album 7 titres bricolés sur “le beau label”.
The Great Tips
Le groupe prit son envol au début de l’année 2005, alors que les trois initiateurs, Beaumuh (guitare), Nico (basse) et Lo (batterie) cherchaient un nouveau membre qui pourrait assurer le rôle de chanteur et permettre aux compos déjà existantes d’enfin être couplées à un message et une mélodie vocale. La tâche n’était pas simple, tant les trois musiciens se complétaient parfaitement dans le style et les différents objectifs musicaux qu’ils voulaient atteindre.
C’est en repensant à l’un de ses amis d’enfance, qui partagea avec lui de grands moments musicaux au sein d’une chorale d’enfants dans les années 90, que Nico reprit contact avec Benja, le chanteur actuel du groupe. La rencontre fut un succès, aussi bien sur le plan humain que musical. En effet, Benja fut directement conquis par le son puissant et riche que les trois musiciens avaient créé. C’était la première fois pour lui qu’il se sentait convaincu de pouvoir adhérer complètement à un groupe sans aucune différence de point de vue sur le style et l’univers musical mis en place par ses comparses. Il lui restait alors à prouver qu’il pouvait apporter une aide concrète à la réalisation des chansons. Après deux semaines de travail, la première chanson du groupe voit le jour et rassure les membres sur leur collaboration future. Elle se nomme « Mister Pooh » et fait intervenir des paroles à l’argot américain et au flot hip-hop très prononcés sur des riffs puissants, le tout laissant toujours place à un refrain mélodieux. Tel était le concept à suivre,…
Depuis, une douzaine d’autres morceaux aux discours, tantôt saugrenus, tantôt sérieux , rebondissant sur des mélodies aussi bien progressives que dynamiques, mais appelant toujours le public à réagir et à ne jamais s’arrêter de bouger, sont nées, indépendantes les unes des autres dans leur sonorité et leur structure. The Great Tips n’a pas réinventé la musique, mais peut se vanter de ne jamais laisser un public indifférent à sa musique. Composé de riffs entraînants qui, eux mêmes, précèdent des riffs encore plus détonants. Le style du groupe fait revivre les influences Metal/Hip-hop des membres du groupe dont les plus connues sont Incubus, Dog Eat Dog, Deftones, Watcha, Red Hot Chili Peppers, Rage Against The Machine, Korn, Cypress Hill,… Donc si vous aimez vivre les concerts dans une atmosphère dynamique où l’échange entre la scène et le public est réel, si vous appréciez vous abandonner à des sons appelant l’explosion
de mouvements de foule? Alors ne manquez pas le prochain concert du groupe liégeois « The Great Tips ».
Pete&Lee
Une rencontre, sur le quai d’une gare, le partage d’une lecture, l’un lisant Szondi, l’autre Kundera, et très vite le début d’une aventure musicale inspirée de leurs longues conversations philosophiques autour d’une bonne tasse de thé…
Pete & Lee, duo formé en 2007, n’a pas encore performé sur scène, mais est à présent prêt à livrer un spectacle alliant compositions acoustiques polyglottes et reprises bien calibrées et subtilement choisies dans des registres très variés. Attention, il ne s’agit pourtant pas de variété !
« Pete & Lee, le duo acoustique aux mélodies puissantes et aux textes acharnés, Le Figaro »
« Sans doute le plus efficace des duos francophones depuis des années, Ici dimanche »
« Enfin du second degré tout en finesse, avec des mélodies soignées, Dorothée Magazine »
« Du très bon cru bien de chez nous ; un potentiel certain, 7Xtra »
BJaggist
Après quelques années d’expérimentations musicales et de travail acharné en home studio, le projet B-Jaggist voit le jour et propose un collage de styles et d’influences teinté de mélodies aux accents cinématiques, d’harmonies tonales et de beats hip-hop. Ce soir, B-Jaggist dépose le casque et laisse de côté la souris pour se produire comme un ‘one man musical patchwork’ qui allie programmation, performance instrumentale, ainsi que vinyl sampling et scratching. Au menu, des influences comme The Cinematic Orchestra, The Streets, Hint, Fink, et Kid Koala parmi bien d’autres choses encore…
Jabaswing
Sur une péniche, dans un bistrot ou au détour d’une place parisienne, JABASWING, c’est sept musiciens pour une ballade à l’ambiance résolument festive dans l’univers musical des années 30 ! Créé en 2007, autour des frères Alexis et Benjamin Moquet (guitares solistes), et de leurs deux compères Bertrand Beaurain et Aurélien Prévost (guitares rythmiques), l’orchestre s’est progressivement agrandi en s’enrichissant de l’assise veloutée de la contrebasse de Jean-François Rault, des improvisations surprenantes de la clarinette de Youri Simolak et du swing virevoltant du violon de Diane Conrad.
Depuis bientôt deux ans et plus de 30 concerts, l’orchestre vous invite dans un univers ou se côtoient les grands standards du swing manouche, du jazz américain et de la chanson française. D’abord composé de reprises de l’incontournable Django Reinhardt, leur répertoire s’étoffe peu à peu de compositions originales influencées par les goûts hétéroclites de ces sept acolytes. Le résultat, un cocktail étonnant de musique entraînante et d’inaltérable bonne humeur !!!!!
EXPO « Et le lendemain, ils avaient le sourire… »
- Judith Duchene – Peinture
- Lino Aquilina – Photos et art numérique
- Maud Petit – Photos du festival 2008
- Gini Jarbinet – Dessins
- Stand BD « Airborne 44 » en vente ;-) (+ projection du trailer dans la salle expo)
- Kevin – Peinture
- Martin Dewinter – Peinture